Die Besitzer des Kodex Lászlóffy in der Neuzeit
Der Kodex Lászlóffy enthält eine 1413 in Wien angefertigte Kopie der typologischen Sammlung „Concordantiae caritatis" von Ulrich Abt von Lilienfeld (1345–1351). Er wird heute in der Piaristenzentralbibliothek Budapest bewahrt. Der erste bekannte Besitzer des Kodex in der Neuzeit war Paul Lászlóffy, ein Registrator (regestrator, conservator) der Ungarischen Hofkanzlei in Wien. Er stammte aus Kunó (neben Senitz, Senica, im Komitat Neutra), studierte seit 1625 in Tyrnau und in Wien und wurde am Ende der 1630-er Jahren ein Beamter der Kanzlei. Er nützte seine Einflussmöglichkeiten aus und erwarb Besitzungen in den Komitaten Ödenburg, Somogy und Tolna. Er hatte Häuser in Wien und in Skalitz. 1641 heiratete er Maria Magdalena Koser (Koscher, Keschner), die Witwe des Raaber Vizegenerals Stefan Körtvélyessy. Sie hatte ein Herrenhaus in Karlburg (Oroszvár, Rušovce, Komitat Wieselburg). Paul Lászlóffy starb 1647 in Preßburg. Sein Kodex befand sich 1666 in der Burg von Woinitz (Bajmóc, Bojnice, Komitat Neutra), wo der mährischer Piarist Franciscus Hanacius (Franciscus a S. Wenceslao) eine Kopie davon anfertigte. Damals besaß wahrscheinlich der Woinitzer Verwalter Johann Mednyánszky, ein Schwager von Lászlóffy, den Kodex. 1795 kam er in die Bibliothek des Piaristenordenshauses von St. Georgen (Komitat Preßburg), vermutlich aus der Sammlung des Piaristen Jakob Peer (1750–1792), Professor für Geschichte der Akademie von Preßburg. Der Kodex wurde endlich 1906 zum heutigen Bewahrungsort, in die Bibliothek der ungarischen Piaristenprovinz gebracht.
Troubles-fęte à Pozsega en 1629
Oeuvre jusqu'ici inconnue de Ivan Tomko Mrnavić
L'étude publie et analyse un écrit jusqu'ici inconnu de János Marnavics Tomkó (Ivan Tomko Mrnavić), que l'auteur avait retrouvé parmi les manuscrits de la bibliothèque Ferrajoli, conservée à la Biblioteca Apostolica Vaticana. Le texte nous conserve une histoire, souvent représentée dans le folklore européen, décrivant la punition céleste du trouble-fęte, déroulé en 1629, à Pozsega, en Slavonie. Le récit composé des idées préliminaires, et des éléments de la matière de la légende de plusieurs siècles, est rédigé par une composition de texte tout à fait consciente, de vision fonctionelle. L'histoire du prodige renvoit à plusieurs points à la crise intérieure de l'Église catholique bosniaque et slavone des années 1620, aux buts de l'organisation de missions, aux efforts à créer l'identité du catholicisme des franciscains bosniaques. L'écrit relate d'une part le succès et l'indispensabilité de l'activité des franciscains, d'autre part la résolution d'un problème pastoral actuel par l'intervention divine. L'histoire des troubles-fęte se distingue parmi les comptes-rendus, les relations de mission et des histoires analogues des annales jésuites. Les différents éléments et motifs fonctionnels sont rédigés avec un sens de composition excellent de l'auteur, dans la brève histoire il présente plusieurs arguments importants de l'identité et de l'autodéfense du catholicisme et de l'ordre franciscain bosniaque de l'époque. Par l'emploi de la légende des danseurs de Kölbigk il a inséré dans son ouvrage un type de légende de plusieurs siècles, présentant une variante spéciale du territoire sous conquęte ottomane, de la légende qui par le ballade de János Arany survit jusqu'à la littérature classique hongroise.
Les ouvrages de Paolo Segneri en Hongrie
Le jésuite italien Paolo Segneri (1624–1694) avait consacré toute sa vie à la réalisation des buts désignés par le Concile de Trente. Missionaire, prédicateur, et écrivain fécond, il s'employait à développer le renouveau du catholicisme. Son oeuvre peut ętre caractérisé d'une multiplicité de sujet et de genre. La recherche de la réception de Segneri en Hongrie, jusqu'à nos jours s'est limitée à l'analyse de la méthode de mission attachée à son nom introduite en Hongrie au cours du 18e siècle. Pourtant les sources justifient l'apparition de l'oeuvre dans l'édition de livres de la Hongrie très tôt, depuis 1697, qui jusqu' à la fin du 18e sięcle y restait présent. Avant tout ce sont les ouvrages pratiques, s'occupant des tâches du clergé, et les écrits suivant les traditions des ouvrages d'exercice spirituel des jésuites, le plus souvent en traduction latine. La répandue des ouvrages de Segneri peut ętre très bien examinée par les catalogues de bibliothèque diocèsale, et archiepiscopale, autant que par les listes de livres dressées à l'occasion des 'canonica visitatio', imprimées plus tard. Ces sources prouvent, que les ouvrages du jésuite italien étaient connus, néantmoins en mesure différente, dans les milieux ecclésiastiques hongrois. De ses écrits, ce sont surtout les ouvrages de pastoration et de théologie morale, les livres de méditation et les volumes de sermons qui recevaient le plus d'attention. Le bas nombre des ouvrages apologétiques et théologiques est à remarquer, cela peut ętre expliqué par la relevance minime des sujets parmi les lecteurs hongrois. Évidemment la réception de Hongrie de Segneri peut-ętre nuancée par des données complémentaires, toutefois on peut déclarer męme d'après nos connaissances actuelles que l'influence du jésuite italien est plus étendue qu'on ne l'aurait cru.
Relations des illustrateurs, des auteurs et des éditeurs à Vienne et à Pest-Buda au tourne des 18e–19e siècles – reflétées par l'activité du chalcographe János Blaschke
Le chalcographe János Blaschke (1770–1833), né à Pozsony, installé à Vienne, travaillait pour le compte des éditeurs de Hongrie, d'Autriche et d'Allemagne également. Au cours de l'examen de l'activité de plus de 40 ans de l'artiste fécond, – en revanche des 162 illustrations connues jusqu'ici dans la littérature spéciale hongroise, en réalité il en possède plus de 600 pièces – on peut remarquer la transition à partir du classicisme vers le romantisme dans l'illustration de livres, et on se rend compte également des changements de genre. A côté des publications classiciste, propagant la littérature, mythologie, beaux-arts et histoire de l'Antiquité, les volumes individuels autant que les séries, et éditions complètes, présentant les résultats de la littérature contemporaine, accèdent de plus en plus en premier plan, tandisque la vision topographico-géographique des 17e et 18e siècles donne place aux descriptions sensibles ou pittoresques du romantisme, voire la littérature de la connaissance du pays natal. Les calendriers, servant des informations économiques, météorologiques, sont remplacés de plus en plus par des almanachs littéraires, en but de réveiller l'attention avant tout d'une nouvelles couche de lecteurs, les femmes de la bourgeoisie s'enrichissant. Les albums des 16–18e siècles, pleins de gravures grandioses, présentant les trésors de certaines collections princières, les monuments d'art de l'Antiquité, et parus en petit nombre d'exemplaire, donc très chers, sont rechangés aux volumes modernes, bon marché et populaires, remplissant un rôle important dans la formation du goűt des lecteurs et dans la diffusion générale des connaissances.
János Blaschke, graveur favori du cercle de Kazinczy, avait fait des illustrations pour les almanachs littéraires débutants (Igaz, Sámuel: Zsebkönyv ('Agenda'), Hébe; Kisfaludy, Károly: Auróra ('Aurore')) également. Les gravures, représentant des scènes de l'histoire nationale, avaient non seulement un rôle de départ dans le sens iconographique, (par exemple l'histoire de Mihály Dobozy), mais faisaient lancer des changements de vision également: les sujets historiques nationaux des illustrations des almanachs avaient préparé la floraison de la peinture historique hongroise du 19e siècle.
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