Coutumes de collection de livres et d'emploi de bibliothèque des étudiants hongrois à Bâle et à Berne au 18e siècle
Dans les actes de la bibliothèque de la 'Societas Studiosorum' de Berne on retrouve à plusieurs reprises les traces des problèmes d'emprunt de livres de l'étudiant transylvain János Nemegyei. L'étude présente essaye de comparer les coutumes de collection de livres et d'emploi de bibliothèque de Nemegyei et des autres étudiants hongrois et transylvains.
A propos de l'emploi de bibliothèque des étudiants hongrois du 18e siècle nous pouvons constater les suivants: plus de 200 personnes avaient poursuivis des études à Berne et à Bâle, parmi eux, nous pouvons identifier soixante jeunes hommes, dont nous avons trouvés des traces de quelques coutumes d'emploi.
Dans les sources il y a à peine de traces de contravention des étudiants quant à l'emploi de bibliothèque et à la collection de livres. Dans les grandes collections souvent visitées par les étudiants, on trouve des Hongrois autant comme visiteurs que lecteurs, ils ont également contribué financiellement à l'enrichissement des bibliothèques. Ils ont parfois attiré l'attention de leurs amis suisses à certaines pièces ayant rapports â la Hongrie, conservées dans les collections. Ils ont connu plusieurs méthodes de collection de livres: ils ont essayé de construire des rapports personnels aux savants, et aux commerçants de Bâle et de Berne, de qui ils pouvaient espérer de l'aide et des offres à l'acquisition d'un livre désiré.
De la traduction manuscrite de Metastasio par Kazinczy
L'influence de l'activité d'auteur dramatique de Metastasio en Hongrie est arrivée récemment dans le domaine de l'intéret de l'histoire littéraire, tandisque antérieurement surtout son effet poétique a été estimé comme important. Outre de l'inspiration des auteurs des drames scolaires, il faut ici mentionnerle role des deux voluems de traduction de Metastasio de Károly Döme, autant que les deux traductions de Kazinczy, le Themisticle et La clémence de Titus. Les deux traductions sont jsuqu'a nos jours inédites, bienque même Kazinczy eut plusieurs fois projeté leur publication. La curiosité de Themistocles ets le fait, qu'elle nous soit conservée meme en deux traductions prétendues de Kazinczy, les manuscrits se trouvent dans le Département des Manuscrits de la Bibliotheque Nationale et dans celui de la Bibliotheque de l'Académie des Sciences, mais les deux textes sont dans une telle mesure différentes, que vraissemblablement un des deux puisse etre authentique. L'effet détendu de La clémence de Titus est prouvé par le fait que nous en connaissons de nombreuses traductions de l'époque. Kazinczy lui-même avait plusieurs fois recopié son texte, nous en connaissons en somme quatre manuscrits autographes. Son importance se trouve dans le fait que la pièce retransmet de façon authentique pour le théâtre hongrois une structure dramaturgique rapportable a l'activité de Pierre Corneille. Son intéret biographique est que Kazinczy la traduit pendant sa captivité, il destine la pièce comme instance de clémence envers l'empereur, ainsi il essaye de la mettre en scène à partir de sa prison.. Le projet ne se réalise pas, tout de même, un manuscrit postérieur du Théâtre National, copie de la traduction de Kazinczy, prouve le rapport ultérieur de la pièce à la tradition théâtrale hongroise.
La reine Élisabeth dans la littérature de colportage – culte et politique
L'auteur examine à partir des 20 feuilles volantes, de la collection des petits imprimés de la Bibliothèque Nationale, ayant pour sujet la reine Élisabeth, comment ces écrits de colportage avaient contribué au culte de la reine, et en revanche, comment les auteurs et les éditeurs en avaient profité à leurs buts politiques et économiques. La majorité en sont en rapport avec la mort de la reine, il n'y a que trois antérieures. Ces dernières avaient un rôle surtout dans le développement du culte, des stéréotypies, souvent différentes des véritables traits de caractère de la reine (sa sympathie pour les Hongrois, l'image de la bonne épouse, de la mère adorable, mère de tout son peuple etc.) Les écrits de colportage provenants du temps son assasinat développent encore cet image, couronnant la figure de la défunte d'un hommage dû a une sainte presque. L'auteur, comparant les sources avec les nouvelles et reportages parus dans la presse, constate, que ces écrits, semblablement aux rapports criminels, rassemblent les informations afin de sembler bien renseigné, en même temps, certaines données sont fausses, d'autres sont sans aucune doute les produits de l'imagination des auteurs, et cela pour relever l'intér@è^t, l'horrification et la compassion des lecteurs.
L'histoire de la firme Vajna et Bokor (1928–1948)
Des maisons d'éditions plus petites de l'époque d'entre-deux-guerres une des importantes était la librairie de György Vajna et associé. Le directeur de grande autorité de la firme a été Dezső Bokor (1894–1963), qui avait fait ses études à la Buchhandlerschule d'Allemagne, et parlait bioen l'allemand, le français, l'anglais et le russe. Le magasin, à la fois librairie et bouquinerie, s'est trouvé à Budapest, au centre de la ville, 28 rue Váci. De ses domaines un était la chasse (et les activités parentes: pêeche, tourisme, élevage de chien etc.), mais la firme avait remporté une médaille d'or de l'Exposition Mondiale de 1937 de Paris, autant que de celle de New York de 1939, par ses publications présentant la civilisation et la culture hongroise. Plus tard Bokor avait fondé sous le nom Transatlantic Arts, sa filiale de New York, avec succès pour la diffusion des différentes publications hongroises en langue anglaise, sous la direction de György Vajna. La maison a fait publier en langue allemande et anglaise les oeuvres classiques de la littérature hongroise: La tragédie de l'homme de Imre Madách, Csongor et Tünde de Mihály Vörösmarty, Bánk bán de József Katona, autant que des ouvrages de vulgarisation au sujet des costumes populaires hongrois, de la musique populaire hongroise et le livre de cuisine Gundel. Pendant son activité, la firme a fait paraître une centaine d'ouvrages. En 1944 Bokor a été requis pour le service du travail obligatoire, sa librairie, comme propriété juive, a été supprimée et liquidée par les autorités fascistes hongroises. Après la guerre, Bokor a participé dans la réorganisation du métier de livre de Hongrie, il a fait redémarrer sa boutique également, mais la firme ne s'est guère occupée de l'édition de livre. Semblablement aux autres firmes en propriété privée, le magasin a été définitivement supprimé en 1953. Bokor a continué sa carrière aux éditions Corvina, maison débutant peu après, pour la diffusion des informations sur la Hongrie dans le monde de l'Ouest, ainsi, en partie elle a continué l'activité de la firme Vajna et Bokor.
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